Même si vous possédez les fonds nécessaires pour l’achat comptant de votre bien (ce qui est plutôt rare), il est préférable d’emprunter une partie, voire la totalité de la somme grâce à un prêt amortissable auprès d’un organisme bancaire. Les taux d’intérêt actuels étant au plus bas, faire un emprunt (effet de levier incontournable !) dans ce contexte constitue une véritable opportunité d’investissement, permettant de démultiplier son patrimoine.
Une fois votre bien trouvé, un montage financier approprié peut être mis en place afin de tenir compte des loyers vous permettant de financer une partie de votre investissement et de retenir le prêt immobilier le plus adapté à votre situation.
Si vous procédez à votre premier investissement immobilier locatif, on vous proposera sans doute un prêt amortissable classique. La logique veut que l’on utilise ses loyers pour rembourser le capital et les intérêts, mois après mois. Un prêt in fine (remboursement du capital à terme), peut se justifier si vous touchez d’autres revenus fonciers, auxquels vous pourrez imputer une part des intérêts du nouveau crédit immobilier afin de réduire vos impôts et augmenter ainsi la rentabilité locative.
Quel que soit le type de crédit (amortissable ou in fine) ou de bien financé (logement neuf ou ancien, maison ou appartement), les frais d’emprunt (intérêts, frais de dossier et de garantie, assurances …) sont déductibles de vos revenus fonciers (voir l’article sur le Déficit foncier).
Pour tout éclaircissement sur la manière de financer votre projet d’investissement, nous sommes à votre écoute pour étudier votre situation et vous proposer la solution la mieux adaptée à votre situation.